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185.2 - J.S.P.T. 2013 vue par Jean-Michel

Jean-Michel GUYOT

jeudi 9 janvier 2014

8h30, le 6 octobre. Avec Brigitte, je retrouve Daniel et Michel sur la nouvelle aire aménagée. Merci aux travailleurs qui ont œuvré pour le confort de cette journée. Les uns et les autres commencent à arriver et à se préparer. À plusieurs, et en faisant participer les enfants, on monte la tonnelle que Bertrand a apportée. Le campement prend tournure sous quelques gouttes et un ciel plutôt sombre. On installe la Brigitte à l’accueil derrière une petite table rouge. Les clients affluent déjà pour les premiers départs. Les groupes se forment, et les spéléo-guides prennent en charge ceux-ci pour une destination établie sur réservation.

10 heures, c’est mon tour. Mon groupe se compose de dix personnes et on va aux Puits. Les participants me disent qu’ils m’ont eu l’année dernière. Daniel fait l’appel au moins six fois, car il y a des retouches de dernière minute dans la composition avec des retardataires. Enfin on y va, avec du retard sur l’horaire théorique. Bertrand prend la tête pour encadrer ce groupe. J’ai des gabarits importants, mais on passe dans le huit sans trop de difficulté. Au retour, mes clients sont heureux et on fixe rendez-vous pour les 7 Salles l’an prochain. Le casse-croûte est préparé, par Marie et Cyril au fourneau, et par Pascal à l’apéro. Tout le monde le sait, l’heure c’est l’heure, et je mange. pour me préparer à repartir. On termine le repas avec le bon gâteau au chocolat de Sabine. Un chien de chasseur avec sa clochette, perdu parmi nous, tourne autour de la Fifille.

15 heures. Je repars avec un groupe de treize personnes, seul ce coup-ci, mais idem, certains m’ont eu l’an passé. Je vais aux 7 Salles avec quatre jeunes gosses qui en veulent. Les gros, qui se reconnaîtront, n’étaient pas souvent volontaires pour s’engouffrer les premiers dans les boyaux. Les femmes montraient un certain courage à affronter l’inconnu pour nous ouvrir le chemin « subterrien ». Plusieurs fois perdus dans cette longue grotte aux dédales rocheux, nous finissons par trouver la sortie. Je reconnaissais devant mes clients que j’étais le seul au club à ne pas avoir de spécialité, certains pouvant parler de cailloux pendant des heures. Ils me réconfortaient poliment en disant que mon sourire leur suffisait. Retour au bivouac, où j’apprends que Daniel est tombé de sa chaise, sans mal heureusement. Un rayon de soleil perce l’après-midi. On attend les derniers retours de groupe pour remballer le matériel collectif.

18h30, je rentre avec mon Amour que j’ai titillé toute la journée.

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