CR 16-17 mars

Vauvougier : week-end du 16-17 mars
Participants : Pierre, Vivien, Théo

Vendredi 15, départ tardif du local pour cause d’un organisateur en retard... Arrivé au gîte de Montrond, toutes les lumières sont éteintes, nous buvons une bière et ne tardons pas, il est déjà 2 h.

Samedi 16, levé entre 7 h 30 et 8 h, nous passons dire bonjour aux autres groupes présents dans le gîte. Nous croisons le Caf de Nancy et un groupe composé de gens du SCO, de l’ASHM et de l’Usan. Nous ne devions pas être bien éveillés hier, Pierre n’a pas de casque et j’ai oublié de prendre des cordelettes pour équiper. Nous finissons par résoudre le problème et partons en direction de Vauvougier. Un nouvel accès étant en étude nous nous garons au parking de chasse où nous y croisons un groupe de chasseurs venus nettoyer la forêt. Nous discutons un peu avec eux, le stationnement ici ne pose aucun soucis, il n’y a donc plus qu’à passer une convention pour l’accès et l’accès sera pérennisé pour un moment.

10 h nous sommes sous terre, Pierre a équipé une partie de l’entrée avant de me passer la main. Nous arrivons rapidement au puits du Pendule. Tiens, le groupe sous terre n’est pas passé par l’itinéraire classique, mais par le passage que nous avons ouvert, c’est cool ! Nous croisons le Caf de Strasbourg et discutons des différentes avancées des travaux. Ils iront, sur mes conseils, faire un tour dans le réseau du Piton. Nous poursuivons notre chemin et regagnons la zone de chantier. Aujourd’hui l’objectif consiste à poursuivre la désobstruction au pied du réseau des Photographes dans le but d’ouvrir une connexion avec la galerie Fournier et ainsi permettre une superbe traversée du réseau et surtout gagner un temps précieux pour les différentes explorations au fond. Les tirs s’enchaînent, nous faisons une courte pause bouffe vers 14 h et continuons sur un fond "d’Ascendant Vierge" et autres groupes électro sans oublier l’incontournable David fils de Momone. Taper, percer, bourrer, sortir, tirer, taper, percer... vous avez compris, les heures tournent et se ressemblent. 22 h nous faisons une nouvelle pause bouffe et décidons de finir les deux derniers accus avant d’entamer la remontée. Quelques tirs se suivent, nous sommes vraisemblablement proche de notre objectif, les cailloux ricochent sur quelques mètres avant un grand blanc suivi d’un boom résonnant ! Nous avons bien avancé dans le méandre et sommes descendu d’environ 3-4 m dans le méandre. À vue de nez il reste 5 m à taper verticalement pour arriver dans le gros volume du puits Coucou. La suite au prochain épisode... Nous rangeons et entamons la remontée qui commence fort avec une tête de puits étroite suivie quelques mètres plus loin d’une étroiture... Tout le monde est unanime et ce n’est pas la première fois, il faudra faire sauter tout ça.

Nous sommes de retour à la voiture pour 2 h 30, un petit creux se fait sentir, nous passons au distributeur de pizzas de Larnod et regagnons le gîte où nous ne tarderons pas à aller nous coucher.

Dimanche 17, réveil vers 7 h 30 pour Vivien Pierre et moi. Nous tardons un peu, beaucoup, et décidons de nous lever tranquillement à 10 h. Nous retrouvons Stéphane (SCO) resté au gîte pour cause d’une douleur. Ce dernier qui nous fait goûter son jus pomme et ses confitures faits maison. Nous finissons notre périple part une rapide visite du sentier karstique et un repas à Larnod où nous aurons la stupeur de parler avec une personne âgée indignée que nous lui ayons fait remarquer qu’il ne pouvait pas se stationner à un Stop... (il y a pourtant des bandes blanches au sol, oui, oui, celle du Stop n’est pas celle d’une place de parking). Le repas englouti nous quittons définitivement le Doubs en direction du local.

Lavage, rangement, bref une fin de week-end assez banale.